REVELATIONS

Un passage de la chaîne LCI sur les plans de «dérussisation» de la Crimée en cas de reconquête par Kiev n'est pas passé inaperçu, à tel point que le représentant russe à l'ONU Dmitry Polyanskiy l'a dénoncé lors d'une réunion du Conseil de sécurité.
Avec la victoire du «non» au référendum proposé par le président Lasso et celle de candidats pro-Correa dans les deux plus grandes villes d'Equateur aux élections locales, l'opposition de gauche sort renforcée de la journée du 5 février.
Face au séisme qui a ravagé plusieurs villes au nord de la Syrie, le Croissant-Rouge exige la levée des sanctions occidentales. Ces mesures coercitives empêchent littéralement Damas de recevoir l'aide nécessaire pour reconstruire le pays.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et son homologue malien Abdoulaye Diop donnent le 7 février à Bamako une conférence de presse conjointe à l'issue de leurs négociations.
A l'approche d'une importante parade militaire, l'armée nord-coréenne a déclaré qu'elle allait étendre et intensifier ses exercices militaires en vue de «la préparation à la guerre», selon les médias publics.
Les militaires russes situés en Syrie se sont mobilisés pour aider les habitants à déblayer les décombres du séisme qui a fait des milliers de morts dans le pays et en Turquie. Du personnel du ministère des Situations d'urgence doit les rejoindre.
L'armée israélienne a mené un raid dans la ville de Jéricho en Cisjordanie pour neutraliser des membres du Hamas. L'opération a fait plusieurs morts côté palestinien. Le mouvement armé qualifie cette attaque de «massacre abominable».
Une réplique au premier séisme qui a endeuillé la Turquie et la Syrie a été enregistrée dans le sud-est de la Turquie quelques heures après le premier drame. Sa magnitude a été estimée à 7,5.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, et son homologue irakien, Fouad Hussein, donnent le 6 février à Bagdad une conférence de presse conjointe à l'issue de leurs négociations.
Un séisme de magnitude 7.8 a frappé le sud de la Turquie et la Syrie voisine, faisant pour l'heure plus de 7 000 morts et des milliers de blessés. Les dégâts sont considérables et plusieurs pays ont déjà proposé ou envoyé de l'aide d'urgence.
Alors que les troupes ukrainiennes ont perdu l'initiative sur le terrain, les autorités de Kiev sont engluées dans un scandale de corruption sur les approvisionnements de l'armée. Le ministre de la Défense a promis des «audits» sur le sujet.
Les forces israéliennes ont mené un raid dans un camp de réfugiés près de Jéricho, une semaine après une attaque contre un restaurant géré par des Israéliens. Des maisons ont été détruites et une dizaine de personnes auraient été arrêtées.
Des milliers de protestataires ont pris part dans le centre de Lima à, selon les organisateurs, «la plus grande» manifestation rassemblant «toutes les communautés» depuis le début de la mobilisation en décembre contre la présidente Dina Boluarte.
Le président ukrainien a exprimé ouvertement les difficultés rencontrées par l'armée sur plusieurs fronts. La pression des forces russes est de plus en plus douloureuse.
L'ex-Premier ministre israélien, ancien médiateur entre Kiev et Moscou, a rapporté que les pays occidentaux avaient rompu le processus de négociation. Il a souligné que son action était coordonnée avec plusieurs pays dont les Etats-Unis et la France.
Il y a «consensus» avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour que les armes fournies par les Occidentaux ne soient pas utilisées pour des attaques sur le territoire russe, a déclaré le chancelier allemand Olaf Scholz lors d'une interview.
Le 4 février, après un processus de négociations difficile, le ministère russe de la Défense a rapporté que 63 militaires des forces armées de la Fédération de Russie avaient été rapatriés du territoire ukrainien sous le contrôle de Kiev.
Pékin a fustigé ce 5 février la décision américaine d'abattre le ballon chinois qui survolait depuis plusieurs jours les Etats-Unis, accusant Washington de «réagir de manière clairement excessive et de violer gravement les pratiques internationales».
Le ballon, qui survolait depuis plusieurs jours les Etats-Unis, a finalement été abattu par l’armée américaine au-dessus de l’Atlantique. Un ballon «espion» accuse Washington, qui a repoussé la visite à Pékin du chef de sa diplomatie.
La marine brésilienne a annoncé le 3 février avoir coulé dans l'océan Atlantique l'ancien porte-avions Foch rempli d'amiante, de peintures et autres déchets toxiques, une décision critiquée par plusieurs organisations de défense de l'environnement.